Surexploités, érodés, compactés, nos sols crient famine. Et pourtant, en 1971 déjà, des paysans bio tiraient la sonnette d’alarme !Vacarme
Le « non labour » un impact positif et confirmé
62 études scientifiques comparant les pratiques de travail des sols agricoles dans le monde et conclut à un avantage.
Les chercheurs du collège d’agriculture de l’Université d’Illinois ont voulu en avoir le cœur net.
Est-ce que les comparaisons entre méthodes de labours faites dans les fermes du Midwest sont aussi valables pour le reste du monde ?
Les États-Unis sont en effet en train de se passer à grande vitesse du labour.
Outre les évidentes économies en fuel et en matériel, la technique s’est avérée extrêmement rentable.
» Aider le sol à remplir ses fonctions permet de mieux faire pousser les récoltes tout en maintenant une haute qualité remplissant des buts écologiques, assure Stacy Zuber, principale auteure de l’article paru dans Soil biology and biochemistry.
Ce microcosme aère le sol, décompose les résidus des végétaux et les transforme en matière organique de nouveau assimilable par les plantes.
Résultat : Partout, les sols sous labour ont une activité et une masse microbienne; ainsi qu’une activité enzymatique bien inférieure aux sols non labourés.
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